Claudine DOLBEAU
Sur une plage ventée de l’Atlantique, en ciré et bottes jaunes, elle retourne les laminaires mordorées.
La pêche à pied est l’une de ses passions.
D’une main assurée, elle extirpe de son trou l’étrille rouge qu’elle saura accommoder, par le plus grand des mystères, avec les champignons sauvages, récolte de sa cueillette dans les bois secrets d’une Sarthe intimiste.
Vous la verrez aussi dans les Alpes Mancelles en randonnée pédestre.
C’est si proche et si loin !
N’y trouve-t-on pas le Jasnière, vin esseulé sur la carte de France, qu’elle saura vous servir, non pas dans un mazagran, rue où elle habite, mais dans un beau verre là où la robe du nectar exhale aussi l’amitié et le partage, valeurs socles de notre confrérie à laquelle elle adhère avec bonheur.
J’appelle au pressoir Claudine DOLBEAU. Son parrain est Guy
Yves DOLBEAU
Il est des hommes pour qui parler, briller, faire du bruit est un besoin. D’autres, beaucoup moins nombreux, savent écouter et rester discrets.
Celui qui va s’avancer est de ceux là.
Il vient de tourner la page d’une vie professionnelle tout au service de notre alimentation, en produits frais de qualité.
Il a répondu à l’appel de la Sarthe.
Près d’un étang, il a posé les bases de sa construction intérieure pour l’amener, le reste de ses jours, à côtoyer la nature :
-en chasseur raisonné,
-en quêteur d’étoiles de bonnes tables,
-en mélomane amateur de piano, les touches comme des amitiés d’ivoire, diverses et colorées,
chez nous aussi il est venu chercher !
J’appelle au pressoir Yves DOLBEAU. Son parrain est Guy.